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Antibes – France

On a beau être entrepreneure, portée par nos idées On a beau être entrepreneure, portée par nos idées, amoureuse de nos projets… il y a des moments où notre capacité réelle ne suit pas.

Pas par manque de volonté.
Pas par manque d’organisation.
Pas parce qu’on “ne s’en donne pas les moyens”.

Mais parce que le corps, le mental, la charge de vie prennent plus de place que prévu.

En ce moment, je travaille 1h par jour.
Et non, ce n’est pas parce que mon entreprise tourne “toute seule” ou que j’ai trouvé une méthode miracle.

C’est juste… tout ce que mon cerveau peut donner.

Depuis la naissance de mon bébé, ma capacité mentale, ma disponibilité et mes priorités ont changé. J’ai longtemps cru que je pourrais “gérer”, reprendre doucement, continuer comme avant.

La vérité : j’ai sous-estimé l’impact du postpartum et de vouloir faire vivre une entreprise en même temps.

La maternité est mon point de départ à moi.
Mais on vit toutes des phases qui nous obligent à ralentir : charge émotionnelle, fatigue, imprévu familial, moral en dents de scie, besoin de souffler.

Et ça, on en parle très peu.

Dans l’entrepreneuriat, on valorise ce qui va vite.

Mais la réalité du vivant, et d’une entreprise qui s’enracine, c’est qu’il y a des saisons : certaines d’expansion, d’autres où on fait juste assez pour maintenir, répondre, garder la lumière allumée.

On ne peut pas tout porter, créer, optimiser, absorber.
Et c’est ok.

Il y a des semaines où 1h, c’est déjà beaucoup.
Et d’autres où on fera 10 fois plus.

Aucune de ces phases ne définit notre valeur. Elles montrent simplement qu’on travaille avec du vrai : un corps, des émotions, une vie… pas une machine.

Le plus important, c’est d’ajuster.
De reconnaître ce qu’on peut donner sans s’épuiser, sans forcer.
D’accepter que faire juste assez, parfois, c’est ce qui permet à l’entreprise de respirer… et à nous aussi.

On peut être portée par ses idées et complètement vidée.
On peut avoir envie et ne pas pouvoir.
On peut aimer son entreprise et devoir ralentir pour respecter son rythme intérieur.

Ça ne nous rend pas moins professionnelles.
Ça nous rend humaines. 💚

Et toi : tu traverses quelle “saison” en ce moment ?
Plutôt expansion ? ralentissement ? maintien ?
J’ai longtemps cru que je devais tout faire seule. J’ai longtemps cru que je devais tout faire seule.
Gérer mon entreprise, prendre les décisions, encaisser les doutes.

Je me disais que c’était ça, être “solopreneure” : être indépendante, forte, capable de tout porter.

Jusqu’au jour où j’ai tendu la main.
Pas dans un grand élan de confiance, mais avec la peur d’être rejetée, jugée, pas “assez”.

Et ce simple geste – envoyer quatre messages vocaux à des femmes que j’admirais – a tout changé.

🫶 @nina.notion @lucie_colin_design @lesoptimalistes et @alecoutedubusiness 

Depuis, on avance ensemble.
On se soutient, on se questionne, on rit, on se remet en mouvement quand l’une flanche.
On parle de business, de politique, d’écologie… de vie, tout simplement.

J’ai souvent beaucoup de choses à reprocher à Instagram : sa superficialité, la comparaison, la pression de la performance, le temps et l’attention qu’il nous volent.
Mais je dois aussi reconnaître que sans lui, ces rencontres n’auraient sûrement jamais existé.

Revenir à l’origine de ce réseau, à ce qu’il est censé être – un espace de lien, d’échange, de rencontres – ça me fait du bien.
Et ça me rappelle que même au milieu des algorithmes, il reste possible de créer du vrai. 🌿

Ces liens-là m’ont rappelé que même quand on travaille seule, on ne pousse jamais seule.

L’entrepreneuriat n’a jamais été une histoire d’isolement, mais de reliance.
🌿Comme des racines qui s’entrelacent.

✨ Alors si tu te sens seule dans ton chemin d’entrepreneure : ose tendre la main.
Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est un acte de courage et de confiance.

💬 Et toi, tu as autour de toi d’autres entrepreneures avec qui partager ton aventure ? Tague en commentaires tes copines business ou celles que tu n’oses pas contacter pour qu’elles le deviennent ❤️
Trois semaines après mon accouchement, Julie, ma c Trois semaines après mon accouchement, Julie, ma collaboratrice, m’annonce que suite à la loi de finances 2025, nous ne pouvons plus proposer le CPF pour Graines de Thérapeutes Académie.

Autrement dit : la source de 90 % de notre chiffre d’affaires vient de disparaître.

Je m’y attendais, mais pas si tôt.

La mesure est entrée en vigueur dès février 2025, sans délai d’adaptation.

J’ai ressenti deux choses : un grand soulagement… et une peur viscérale.

Soulagement, parce que j’en avais marre du CPF, de la paperasse, des audits, de la rigidité.

Peur, parce que mon modèle entier reposait dessus.

Et quelques semaines plus tard, Julie m’annonce son départ.

Tout l’équilibre de GDT Académie s’effondre.

J’aurais pu chercher une solution rapide — passer par un certificateur pour continuer à profiter du CPF.

Mais ça aurait été de l’acharnement.

J’ai préféré dire stop.

Stop aux contraintes, stop à la dépendance à un système, stop à l’épuisement.

J’ai maintenu la session de septembre (deux personnes avaient déjà leur financement) et j’ai baissé le prix pour la rendre plus accessible.

Et depuis… je réfléchis à la suite.

Repartir de presque zéro, ça fait peur.

Mais ça m’excite aussi.

Parce que j’ai envie de construire autrement, plus librement.

Heureusement, j’avais un an de trésorerie d’avance, sinon, j’aurais sûrement pris de mauvaises décisions dans la précipitation. 

Aujourd’hui, je reconstruis tout, doucement, en prenant  le temps de réfléchir, de tester, de rêver un nouveau modèle.

Et j’ai envie de t’emmener dans les coulisses.

Dis-moi si ça t’intéresse que je te partage comment je vais reconstruire mon entreprise depuis (presque) zéro !
Il y a quelques mois, j’ai réalisé que je passais Il y a quelques mois, j’ai réalisé que je passais 6h par jour sur mon téléphone.

Trop de temps à regarder la vie des autres plutôt qu’à vivre la mienne.

Pas assez de temps pour toutes mes passions.

Et l’impression de manquer de temps… alors qu’il se perdait dans un écran.

Avec un bébé, je savais que si je voulais qu’il grandisse sans être collé aux écrans il fallait que je montre l’exemple.

J’ai donc pris des décisions radicales : suppression d’applis, réduction drastique des abonnements Insta, blocage du temps d’écran avec Jomo, suppression des mails pros du téléphone, achat d’une montre sans écran, téléphone laissé sur une étagère…

Résultat : temps d’écran divisé par 3.

Moins de 2h/jour (les jours de travail).

Et une sensation incroyable de liberté.

Je sais que ça peut encore paraitre beaucoup pour certain.es mais pour moi c’est une énorme victoire.

Et les jours où je ne travaille pas il m’arrive d’y passer 30min max !

__________

EDIT : mon post a été censuré !
Voici les 2 actions censurées :
Décision radicale 1 : supprimer les applis chronophages
J’ai supprimé Instagram, Facebook… mais aussi Vinted, Choose, Le Bon Coin.
Pas parce qu’elles sont “mauvaises” en soi,mais parce qu’elles prenaient **trop de place dans ma tête.
Et même si mon travail passe par Instagram, j’ai préféré y accéder uniquement depuis mon ordinateur.

Décision radicale 5 : acheter une montre à aiguilles semi-connectée
Avant, je regardais l’heure sur mon téléphone… et je me perdais dedans.
J’ai acheté une montre sans écran qui compte mes pas.
Je peux partir me promener sans téléphone.
Et je ne voulais surtout pas d’une montre high-tech qui remplacerait mon portable.

🗨️ Et toi ? Tu as l’impression de trop utiliser ton téléphone… ou pas du tout ?
Je n’avais pas prévu de faire une pause si longue. Je n’avais pas prévu de faire une pause si longue.

Je pensais publier un peu, reprendre doucement au printemps. 
Mais le post-partum, la présence de mon bébé à la maison, et l’appel de l’été m’ont fait lâcher prise.

🌞 Et si je suis honnête, je ne travaille jamais vraiment en juin-juillet-août. 
Alors pourquoi forcer cette année ? 
J’ai fait ce que je sais faire de mieux : ralentir.  Vivre. Profiter.

J’ai passé du temps avec mon bébé. 
J’ai cultivé mon potager. 
Je suis partie en vacances. 
J’ai nourri mes relations. 
Et moi, comme j’ai pu.

🌿 Cette pause imprévue m’a rappelé que ce que j’enseigne est vrai. 
On peut ralentir. Vivre. 
Et avoir un business pérenne, utile, doux.

Aujourd’hui je reprends. 
Et j’ai beaucoup de choses à te partager 🌱

🗨️Et toi, qu'est ce qui s'est passé pour toi ces 6 derniers mois ?
Je suis maintenant accompagnée pendant mes balades Je suis maintenant accompagnée pendant mes balades 🥰

Je prends enfin le temps de vous partager une grande nouvelle : en janvier, j’ai accouché 🌱

Je n’en avais pas parlé ici, ni à mes clientes, jusqu’au dernier moment.
Par pudeur.
Et surtout parce que j’avais besoin de vivre cette période en dehors des réseaux, dans l’intimité.

Aujourd’hui, je me sens prête à en parler, parce que ça change beaucoup de choses pour moi.

Et ça renforce surtout ce en quoi je crois profondément :
👉 le travail est un moyen, pas un but
👉 je veux une vie simple, douce, avec du temps pour ce qui compte vraiment

Je n’ai jamais eu l’intention de courir après le toujours plus.
Et aujourd’hui plus que jamais, j’aspire au « juste assez ».

J’ai pu prendre entièrement mon congé maternité, j’ai travaillé en amont pour ça grâce à @helloceo.fr de @maelanefaure et grâce à @solene.pignet

Avec mon conjoint Axel, on a décidé de garder notre bébé à la maison jusqu’à son entrée à l’école.
On s’organise à deux, entre nos projets pro et notre vie de famille, pour être là au quotidien.
Notre priorité : être présents.

C’est pas toujours simple, mais c’est un choix qu’on ne regrette pas une seconde.
Avec des ajustements, de la créativité, de la patience… et beaucoup d’amour.

Pendant mon congé maternité j’ai également appris l’arrêt du CPF pour mon Organisme de Formation. Cela remet en question tout mon modèle économique.
Je dois réinventer mon activité.
Donc ça fait pas mal de changements 😅

J’ai envie d’ouvrir la conversation ici :
👇Est-ce que tu connais des entrepreneur·es qui ont gardé leur bébé à la maison tout en travaillant ?
Raconte-moi en commentaire, j’aimerais avoir des partages d’expérience sur le sujet ❤️

___

📸Les photos sont de @anaisrousseauphotographe (les belles hein, pas les selfies 🤣)
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On a beau être entrepreneure, portée par nos idées On a beau être entrepreneure, portée par nos idées, amoureuse de nos projets… il y a des moments où notre capacité réelle ne suit pas.

Pas par manque de volonté.
Pas par manque d’organisation.
Pas parce qu’on “ne s’en donne pas les moyens”.

Mais parce que le corps, le mental, la charge de vie prennent plus de place que prévu.

En ce moment, je travaille 1h par jour.
Et non, ce n’est pas parce que mon entreprise tourne “toute seule” ou que j’ai trouvé une méthode miracle.

C’est juste… tout ce que mon cerveau peut donner.

Depuis la naissance de mon bébé, ma capacité mentale, ma disponibilité et mes priorités ont changé. J’ai longtemps cru que je pourrais “gérer”, reprendre doucement, continuer comme avant.

La vérité : j’ai sous-estimé l’impact du postpartum et de vouloir faire vivre une entreprise en même temps.

La maternité est mon point de départ à moi.
Mais on vit toutes des phases qui nous obligent à ralentir : charge émotionnelle, fatigue, imprévu familial, moral en dents de scie, besoin de souffler.

Et ça, on en parle très peu.

Dans l’entrepreneuriat, on valorise ce qui va vite.

Mais la réalité du vivant, et d’une entreprise qui s’enracine, c’est qu’il y a des saisons : certaines d’expansion, d’autres où on fait juste assez pour maintenir, répondre, garder la lumière allumée.

On ne peut pas tout porter, créer, optimiser, absorber.
Et c’est ok.

Il y a des semaines où 1h, c’est déjà beaucoup.
Et d’autres où on fera 10 fois plus.

Aucune de ces phases ne définit notre valeur. Elles montrent simplement qu’on travaille avec du vrai : un corps, des émotions, une vie… pas une machine.

Le plus important, c’est d’ajuster.
De reconnaître ce qu’on peut donner sans s’épuiser, sans forcer.
D’accepter que faire juste assez, parfois, c’est ce qui permet à l’entreprise de respirer… et à nous aussi.

On peut être portée par ses idées et complètement vidée.
On peut avoir envie et ne pas pouvoir.
On peut aimer son entreprise et devoir ralentir pour respecter son rythme intérieur.

Ça ne nous rend pas moins professionnelles.
Ça nous rend humaines. 💚

Et toi : tu traverses quelle “saison” en ce moment ?
Plutôt expansion ? ralentissement ? maintien ?
J’ai longtemps cru que je devais tout faire seule. J’ai longtemps cru que je devais tout faire seule.
Gérer mon entreprise, prendre les décisions, encaisser les doutes.

Je me disais que c’était ça, être “solopreneure” : être indépendante, forte, capable de tout porter.

Jusqu’au jour où j’ai tendu la main.
Pas dans un grand élan de confiance, mais avec la peur d’être rejetée, jugée, pas “assez”.

Et ce simple geste – envoyer quatre messages vocaux à des femmes que j’admirais – a tout changé.

🫶 @nina.notion @lucie_colin_design @lesoptimalistes et @alecoutedubusiness 

Depuis, on avance ensemble.
On se soutient, on se questionne, on rit, on se remet en mouvement quand l’une flanche.
On parle de business, de politique, d’écologie… de vie, tout simplement.

J’ai souvent beaucoup de choses à reprocher à Instagram : sa superficialité, la comparaison, la pression de la performance, le temps et l’attention qu’il nous volent.
Mais je dois aussi reconnaître que sans lui, ces rencontres n’auraient sûrement jamais existé.

Revenir à l’origine de ce réseau, à ce qu’il est censé être – un espace de lien, d’échange, de rencontres – ça me fait du bien.
Et ça me rappelle que même au milieu des algorithmes, il reste possible de créer du vrai. 🌿

Ces liens-là m’ont rappelé que même quand on travaille seule, on ne pousse jamais seule.

L’entrepreneuriat n’a jamais été une histoire d’isolement, mais de reliance.
🌿Comme des racines qui s’entrelacent.

✨ Alors si tu te sens seule dans ton chemin d’entrepreneure : ose tendre la main.
Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est un acte de courage et de confiance.

💬 Et toi, tu as autour de toi d’autres entrepreneures avec qui partager ton aventure ? Tague en commentaires tes copines business ou celles que tu n’oses pas contacter pour qu’elles le deviennent ❤️
Trois semaines après mon accouchement, Julie, ma c Trois semaines après mon accouchement, Julie, ma collaboratrice, m’annonce que suite à la loi de finances 2025, nous ne pouvons plus proposer le CPF pour Graines de Thérapeutes Académie.

Autrement dit : la source de 90 % de notre chiffre d’affaires vient de disparaître.

Je m’y attendais, mais pas si tôt.

La mesure est entrée en vigueur dès février 2025, sans délai d’adaptation.

J’ai ressenti deux choses : un grand soulagement… et une peur viscérale.

Soulagement, parce que j’en avais marre du CPF, de la paperasse, des audits, de la rigidité.

Peur, parce que mon modèle entier reposait dessus.

Et quelques semaines plus tard, Julie m’annonce son départ.

Tout l’équilibre de GDT Académie s’effondre.

J’aurais pu chercher une solution rapide — passer par un certificateur pour continuer à profiter du CPF.

Mais ça aurait été de l’acharnement.

J’ai préféré dire stop.

Stop aux contraintes, stop à la dépendance à un système, stop à l’épuisement.

J’ai maintenu la session de septembre (deux personnes avaient déjà leur financement) et j’ai baissé le prix pour la rendre plus accessible.

Et depuis… je réfléchis à la suite.

Repartir de presque zéro, ça fait peur.

Mais ça m’excite aussi.

Parce que j’ai envie de construire autrement, plus librement.

Heureusement, j’avais un an de trésorerie d’avance, sinon, j’aurais sûrement pris de mauvaises décisions dans la précipitation. 

Aujourd’hui, je reconstruis tout, doucement, en prenant  le temps de réfléchir, de tester, de rêver un nouveau modèle.

Et j’ai envie de t’emmener dans les coulisses.

Dis-moi si ça t’intéresse que je te partage comment je vais reconstruire mon entreprise depuis (presque) zéro !
Il y a quelques mois, j’ai réalisé que je passais Il y a quelques mois, j’ai réalisé que je passais 6h par jour sur mon téléphone.

Trop de temps à regarder la vie des autres plutôt qu’à vivre la mienne.

Pas assez de temps pour toutes mes passions.

Et l’impression de manquer de temps… alors qu’il se perdait dans un écran.

Avec un bébé, je savais que si je voulais qu’il grandisse sans être collé aux écrans il fallait que je montre l’exemple.

J’ai donc pris des décisions radicales : suppression d’applis, réduction drastique des abonnements Insta, blocage du temps d’écran avec Jomo, suppression des mails pros du téléphone, achat d’une montre sans écran, téléphone laissé sur une étagère…

Résultat : temps d’écran divisé par 3.

Moins de 2h/jour (les jours de travail).

Et une sensation incroyable de liberté.

Je sais que ça peut encore paraitre beaucoup pour certain.es mais pour moi c’est une énorme victoire.

Et les jours où je ne travaille pas il m’arrive d’y passer 30min max !

__________

EDIT : mon post a été censuré !
Voici les 2 actions censurées :
Décision radicale 1 : supprimer les applis chronophages
J’ai supprimé Instagram, Facebook… mais aussi Vinted, Choose, Le Bon Coin.
Pas parce qu’elles sont “mauvaises” en soi,mais parce qu’elles prenaient **trop de place dans ma tête.
Et même si mon travail passe par Instagram, j’ai préféré y accéder uniquement depuis mon ordinateur.

Décision radicale 5 : acheter une montre à aiguilles semi-connectée
Avant, je regardais l’heure sur mon téléphone… et je me perdais dedans.
J’ai acheté une montre sans écran qui compte mes pas.
Je peux partir me promener sans téléphone.
Et je ne voulais surtout pas d’une montre high-tech qui remplacerait mon portable.

🗨️ Et toi ? Tu as l’impression de trop utiliser ton téléphone… ou pas du tout ?
Je n’avais pas prévu de faire une pause si longue. Je n’avais pas prévu de faire une pause si longue.

Je pensais publier un peu, reprendre doucement au printemps. 
Mais le post-partum, la présence de mon bébé à la maison, et l’appel de l’été m’ont fait lâcher prise.

🌞 Et si je suis honnête, je ne travaille jamais vraiment en juin-juillet-août. 
Alors pourquoi forcer cette année ? 
J’ai fait ce que je sais faire de mieux : ralentir.  Vivre. Profiter.

J’ai passé du temps avec mon bébé. 
J’ai cultivé mon potager. 
Je suis partie en vacances. 
J’ai nourri mes relations. 
Et moi, comme j’ai pu.

🌿 Cette pause imprévue m’a rappelé que ce que j’enseigne est vrai. 
On peut ralentir. Vivre. 
Et avoir un business pérenne, utile, doux.

Aujourd’hui je reprends. 
Et j’ai beaucoup de choses à te partager 🌱

🗨️Et toi, qu'est ce qui s'est passé pour toi ces 6 derniers mois ?
Je suis maintenant accompagnée pendant mes balades Je suis maintenant accompagnée pendant mes balades 🥰

Je prends enfin le temps de vous partager une grande nouvelle : en janvier, j’ai accouché 🌱

Je n’en avais pas parlé ici, ni à mes clientes, jusqu’au dernier moment.
Par pudeur.
Et surtout parce que j’avais besoin de vivre cette période en dehors des réseaux, dans l’intimité.

Aujourd’hui, je me sens prête à en parler, parce que ça change beaucoup de choses pour moi.

Et ça renforce surtout ce en quoi je crois profondément :
👉 le travail est un moyen, pas un but
👉 je veux une vie simple, douce, avec du temps pour ce qui compte vraiment

Je n’ai jamais eu l’intention de courir après le toujours plus.
Et aujourd’hui plus que jamais, j’aspire au « juste assez ».

J’ai pu prendre entièrement mon congé maternité, j’ai travaillé en amont pour ça grâce à @helloceo.fr de @maelanefaure et grâce à @solene.pignet

Avec mon conjoint Axel, on a décidé de garder notre bébé à la maison jusqu’à son entrée à l’école.
On s’organise à deux, entre nos projets pro et notre vie de famille, pour être là au quotidien.
Notre priorité : être présents.

C’est pas toujours simple, mais c’est un choix qu’on ne regrette pas une seconde.
Avec des ajustements, de la créativité, de la patience… et beaucoup d’amour.

Pendant mon congé maternité j’ai également appris l’arrêt du CPF pour mon Organisme de Formation. Cela remet en question tout mon modèle économique.
Je dois réinventer mon activité.
Donc ça fait pas mal de changements 😅

J’ai envie d’ouvrir la conversation ici :
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